Explication du mystère de la bannière lord Grey

Une grande bannière où sont illustrées deux figures féminines dans un décor rural constitue l’un des documents parmi les plus intéressants et unique de la collection de Bibliothèque et Archives Canada (BAC). Mesurant 2,4 sur 1,8 mètres, cet ouvrage à l’aiguille est fabriqué en lin, coton et laine, en plus de la merveilleuse broderie en fil de soie et autres types de fils. À l’arrière de la bannière, des éléments brodés indiquent qu’il s’agit d’un « ouvrage d’Agnes Sephton, 1907 ». Selon les anciens archivistes, le gouverneur général Albert Henry George Grey, 4e comte Grey, a fait don de cette bannière aux Archives du Dominion entre les années 1907 et 1911. La bannière était accrochée dans le bureau de l’ancien archiviste fédéral adjoint jusqu’en 1953, année où elle a été entreposée. En 1967, elle a été déménagée aux Archives nationales, au 395, rue Wellington à Ottawa; elle est entreposée depuis 2000 au Centre de préservation de BAC, à Gatineau (Québec).

La bannière donnée par lord Grey.

La bannière donnée par lord Grey Source

Pendant les préparatifs pour le dernier déménagement, le personnel en a appris davantage sur les circonstances entourant la création de la bannière. On croit qu’il s’agit d’une œuvre appartenant à une série de commandes demandées par lord Grey dans l’espoir de laisser une trace indélébile dans le cœur et l’esprit des jeunes Canadiens. Il avait l’intention de faire accrocher les bannières dans les écoles du pays afin de renforcer les liens entre la Grande-Bretagne et le Canada. Selon la légende, saint George, le saint patron de l’Angleterre, avait fait la preuve de son immense courage en terrassant un dragon. Lord Grey souhaitait que les jeunes hommes et les jeunes femmes s’inspirent de ces qualités héroïques. On retrouve une image de saint George sur le bouclier tenu par Britannia, la figure féminine habillée en rouge. Elle entoure d’un bras protecteur la jeune Canada, qui porte une robe blanche ornée de colombes et de pins.

Dernièrement, le personnel de BAC qui préparait la bannière pour la prendre en photo, a réussi à retracer l’identité de la femme qui en est la créatrice. Les sources canadiennes n’ayant pas donné de résultats, les archivistes ont trouvé une candidate possible dans les registres du mariage et les états du recensement britanniques. Agnes Bingley est née en 1868 à Londres en Angleterre; elle est la fille de James Bingley, paysagiste. En 1901, elle a épousé George Sephton, un peintre. Le couple a vécu à Londres et était associé à un groupe d’artistes et de concepteurs liés au mouvement Arts and Crafts. On espère que les recherches futures vont permettre de nous donner plus de renseignements sur la bannière d’Agnes Sephton et sa venue à BAC.

Résumé des commentaires reçus en anglais entre le 1er octobre 2013 et le 31 décembre 2013

  • Un usager nous remercie de rendre accessible ces histoires de notre passé qui sont fascinantes et souvent mal connues.

Rassembler les familles au moyen de la numérisation

Dans le cadre du projet de mobilisation communautaire et d’identification de photos Un visage, un nom, qui a pour objectif de permettre aux Inuits de renouer avec leur passé, Bibliothèque et Archives Canada (BAC) a entrepris la numérisation d’une série de photos de la collection d’Affaires autochtones et Développement du Nord Canada. Ces albums ont été le point de départ de la formidable histoire d’une famille du Nunavut.

Dans cette collection figurent un certain nombre d’images de la famille Weetaltuk, prises au cours de l’été 1949 sur les îles Cape Hope, au Nunavut. Les légendes originales accompagnant les photos fournissaient des informations de base sur ces dernières. Heureusement, les enregistrements de notre base de données concernant ces images sont maintenant plus complets depuis que plusieurs membres de la famille Weetaltuk ont communiqué avec BAC afin de fournir les noms de parents et d’autres informations pertinentes concernant ces photos.

Qui plus est, ces personnes ont pu corriger le nom de la famille Weetaltuk ainsi que des noms de communautés qui avaient été incorrectement enregistrés. Nous savions, d’après les légendes originales, que George Weetaltuk était le chef d’une communauté, un habile chasseur et un expert de la construction de bateaux. Des membres de sa famille ont décrit le processus détaillé que suivait George pour construire ses bateaux, comme on peut le voir sur une photo de lui où il travaille, en compagnie de son fils William et de son fils adoptif Simon Aodla, à la construction d’un bateau de 11,58 m (38 pi).

La famille Weetaltuk a également pu corriger l’enregistrement de cette photo de groupe prise devant une cabane en rondins. La légende dit que la photo a été prise sur les îles Cape Hope. Nous savons maintenant qu’elle a probablement plutôt été prise sur l’île Charlton, située à proximité, dans la baie James où, pendant de nombreuses années, George et sa famille ont résidé alors qu’il était employé saisonnier pour la Compagnie de la Baie d’Hudson. Outre ces informations, la famille a aussi pu identifier cinq personnes apparaissant sur la photo et fournir des liens généalogiques.

Photo de la famille Weetaltuk. Adla (extrême gauche), mariée à William, fils aîné de George (2e à partir de la gauche), George (centre) et sa première femme, Ugugak (4e à partir de la gauche). Rangée à l’avant : Alaku (extrême gauche) et Tommy (assis par terre), tous deux fils de George. (PA-099605)

Photo de la famille Weetaltuk. Adla (extrême gauche), mariée à William, fils aîné de George (2e à partir de la gauche), George (centre) et sa première femme, Ugugak (4e à partir de la gauche). Rangée à l’avant : Alaku (extrême gauche) et Tommy (assis par terre), tous deux fils de George. (PA-099605). Source

De plus, un autre des fils de George, Edward, était membre du régiment canadien d’infanterie légère de la Princesse Patricia. Il a été le premier Inuit canadien à participer à un combat militaire au sein de l’Armée canadienne pendant la guerre de Corée. Après ses 15 ans de service, il commença à écrire ses mémoires. Selon un article de presse, Edward (Eddy) Weetaltuk [traduction] « souhaitait montrer aux jeunes Inuits que l’éducation était importante et que les Inuits peuvent faire tout ce qu’ils veulent et même devenir célèbres, si c’est ce qu’ils désirent » (Nunatsiaq Online, 16 juillet 2009).

Bien qu’Eddy ait commencé à écrire E9-422: Un Inuit, de la toundra à la guerre de Corée en 1974, cet ouvrage n’a été publié qu’en 2009, quelques jours à peine avant sa mort.

Grâce à ces liens familiaux et au dialogue que nous avons établi avec la communauté, nos collections photographiques sont constamment améliorées et enrichies pour les générations à venir.

Si vous désirez en savoir plus sur le projet Un visage, un nom, nous vous invitons à lire le billet paru le 9 mai 2013 sur notre blogue et à écouter notre fichier balado Un visage, un nom et le Nord canadien.

Comment trouver des photos qui n’ont pas encore été mises en ligne – Partie II

Dans notre précédent article Comment trouver des photos qui n’ont pas encore été mises en ligne – Partie I, nous décrivions le scénario idéal pour trouver des photos qui ne sont pas encore en ligne. Mais qu’arrive-t-il lorsque les choses ne se passent pas aussi bien?

Que dois-je faire si je trouve des documents qui ne sont pas tout à fait ce que je recherche?

Si les documents que vous avez repérés ne correspondent pas exactement à ce que vous cherchez, ne désespérez pas. Il est bien possible que nous possédions les photos que vous désirez, mais qu’elles n’aient pas encore été décrites. Les pièces déjà décrites vous donnent quand même une bonne indication de l’endroit où pourraient se trouver ces photos qui n’ont pas encore été décrites.

D’abord, notez bien le titre du fonds, de la collection ou de l’acquisition où se trouve chaque pièce et consultez le champ « Étendue ». Combien de photos y a-t-il dans cette collection? Elle contient peut-être d’autres images relatives à votre sujet.

La photo est-elle associée à :

– un numéro de pièce?
– un photographe en particulier?
– certains mots-clés?

Utilisez des variantes de ces mots-clés, le numéro de la pièce et le nom du photographe pour effectuer de nouvelles recherches en ligne dans Recherche de fonds d’archives. Si vous n’obtenez aucun résultat, essayez l’instrument de recherche en ligne ou sur support papier, associé à chaque pièce. Consultez l’article Comment trouver des photos qui n’ont pas encore été mises en ligne – Partie I, pour des conseils sur l’utilisation de l’instrument de recherche.

Que dois-je faire si l’instrument de recherche n’est pas en ligne, mais existe seulement sur support papier?

Si vous trouvez un fonds, une collection ou une acquisition qui semble pertinent à votre recherche, mais qui n’est pas décrit dans un instrument de recherche électronique, vérifiez s’il en existe un sur support papier. Le cas échéant, vous pourrez le consulter sur place au 395, rue Wellington, à Ottawa. S’il n’y a aucun instrument de recherche sur papier, il vous faudra fouiller dans les boîtes de documents de la collection. Si vous êtes dans l’impossibilité de vous rendre à Ottawa, vous pouvez communiquer avec notre personnel de référence, ou embaucher un chercheur indépendant.

Avec au-delà de 25 millions d’images, il y a de bonnes chances que nous possédions LA photo idéale. Il ne vous reste plus qu’à la trouver!

Vous avez des questions ou des commentaires? N’hésitez pas à communiquer avec nous!

Pourquoi consulter des journaux sur microfilm?

Nous vous avons déjà expliqué comment trouver un journal canadien sur microfilm; mais vous vous êtes peut-être demandé pourquoi il fallait, au départ, avoir recours à des microfilms. Ces journaux ne sont-ils pas accessibles en ligne?

En fait, seulement certains journaux le sont (*). La plupart des éditions de journaux mises en ligne gratuitement sont limitées dans leur contenu, et on n’y retrouve que les numéros publiés à partir des années 1980. Si vous recherchez du contenu pleine page et les mises en page d’origine, ou si vous avez besoin de numéros plus anciens, certains grands quotidiens, comme le Globe and Mail, le Toronto Star et le Winnipeg Free Press, offrent, moyennnant des frais, les versions originales en format PDF. Il se peut aussi que votre bibliothèque locale soit abonnée au quotidien concerné, ou vous pourriez également acheter un droit d’accès personnel.

En revanche, vous avez aussi la possibilité de consulter les journaux sur microfilms de Bibliothèque et Archives Canada. Grâce à notre vaste collection, vous aurez accès au matériel suivant :

  • de grands journaux, des journaux régionaux, ainsi que des journaux publiés par des syndicats, des groupes ethniques et des regroupements étudiants;
  • certains éléments tels que le graphisme, la mise en page et les publicités, qu’on ne retrouve pas dans les versions électroniques;
  • le contenu retiré des versions électroniques, y compris les photographies, les petites annonces et les notices nécrologiques.

Passez nous voir à Ottawa pour consulter nos journaux sur microfilms et découvrir notre collection, ou communiquez avec nous pour obtenir plus de renseignements.

* Voici quelques exemples de journaux numérisés que l’on peut consulter gratuitement :

Vous avez des questions ou des commentaires? N’hésitez pas à communiquer avec nous!

Résumé des commentaires reçus en anglais jusqu’au 30 septembre 2013

  • Un usager demande comment il pourra consulter les journaux sur microfilm autrement qu’en visitant BAC, une fois que le prêt entre bibliothèques ne sera plus disponible. BAC a indiqué que le prêt ne serait plus disponible après le 15 février 2013 et que diverses options seraient offertes. D’autres usagers ont exprimé leur désappointement sur la fermeture de ce service.

Conclusions du Cabinet : une fenêtre sur la politique fédérale

Est-ce que les discussions historiques du Cabinet fédéral vous intéressent? Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passait derrière ces portes closes? Pour en savoir davantage, veuillez consulter notre base de données Conclusions du Cabinet.

Voici quelques exemples de ce que vous pouvez y trouver (disponibles en anglais seulement) :

La base de données Conclusions du Cabinet est un outil de recherche qui donne accès aux comptes rendus des discussions qui se sont déroulées aux réunions du Cabinet fédéral entre 1944 et 1976. Bien qu’il ne s’agisse pas de transcriptions textuelles, les conclusions du Cabinet sont les seuls comptes rendus officiels de ces réunions.

Pour chaque réunion du Cabinet, le greffier du Conseil privé a préparé un compte rendu des délibérations, une liste des fonctionnaires ayant assisté à la réunion et un ordre du jour. Le compte rendu peut être très court ou s’étendre sur plusieurs pages. La base de données Conclusions du Cabinet n’inclut pas les documents du Cabinet.

Cet outil de recherche renferme une section d’Aide à la recherche qui offre de nombreux conseils de recherche, de même que des renseignements généraux utiles sur le Cabinet et ses comptes rendus.

Vous remarquerez que la majorité des documents disponibles dans cette base de données sont en anglais seulement puisqu’il s’agissait de la principale langue de travail du gouvernement fédéral à l’époque. Pour les conclusions du Cabinet de 1944 à 1969, vous ne pouvez effectuer des recherches qu’au moyen de termes anglais. Pour les conclusions du Cabinet de 1970 à 1976, vous pouvez effectuer des recherches au moyen de termes anglais et français, mais les documents ne sont généralement disponibles qu’en anglais.

Le saviez-vous?

  • Le Bureau du Conseil privé n’a commencé à consigner les conclusions du Cabinet qu’en 1944. Il n’existe aucun compte rendu officiel des réunions du Cabinet pour la période antérieure à cette date.
  • Le Bureau du Conseil privé consigne les conclusions du Cabinet depuis 1977.

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Comment trouver des publications numériques – Partie II

Dans notre article Comment trouver des publications numériques, nous promettions de partager avec vous les recommandations de nos spécialistes de la référence quant aux endroits où trouver des publications en ligne. Voici donc des sources qui contiennent une mine de publications numériques, tant pour l’ensemble du Canada que pour des régions particulières.

SOURCES À L’ÉCHELLE DU CANADA

Internet Archive – Text Archive (en anglais seulement) [http://archive.org/details/texts%5D
Le site Internet Archive Text Archive contient tout un éventail de textes historiques, d’ouvrages universitaires, de publications gouvernementales, de livres de fiction, de livres à succès et de livres pour enfants. Il comprend aussi un grand nombre de publications numérisées, tant gouvernementales que parlementaires, tirées de la collection de Bibliothèque et Archives Canada.

  • Conseil :
    Vous pouvez utiliser des options de recherche en texte intégral dans les ouvrages qui vous intéressent.

Portail de recherche de Canadiana [http://search.canadiana.ca/?usrlang=fr%5D
Le Portail de recherche de Canadiana vous permet de faire des recherches dans les collections numérisées de bibliothèques, d’archives et de musées partout au Canada. Il présente un large éventail de documents historiques, comme des livres, des revues, des journaux, des documents gouvernementaux, des photographies et des cartes.

Nos racines : les histoires locales du Canada en ligne
[http://www.ourroots.ca/index.aspx?lang=fr-CA]
Le site Nos racines est une ressource fantastique pour les chercheurs en histoire familiale. Sa collection exhaustive comporte des histoires locales numérisées en provenance de toutes les régions du pays (y compris des publications historiques); on peut y faire des recherches en texte intégral par nom de famille, par nom de lieu et par événement.

SOURCES RÉGIONALES

Bibliothèque et Archives nationales du Québec – Collection numérique[http://www.banq.qc.ca/collections/collection_numerique/index.html?language_id=3]
Ce site de Bibliothèque et Archives nationales du Québec offre des collections exhaustives de documents numériques, y compris des journaux, des magazines,
des annuaires municipaux, des livres, des trames sonores de films, des ouvrages de référence, des cartes, des plans et des images.

  • Conseil :
    La Collection des annuaires municipaux [http://www.banq.qc.ca/collections/collection_numerique/index.html?categorie=1] englobe, entre autres, les annuaires Lovell de Montréal à partir
    de 1842.

Peel’s Prairie Provinces (site partiellement traduit) [http://peel.library.ualberta.ca/index.html?locale=fr%5D
Le site Peel’s Prairie Provinces est une ressource indispensable pour la recherche sur l’Ouest canadien et son histoire. Il comprend une bibliographie de plus de 7 000 livres numérisés entièrement interrogeables [http://peel.library.ualberta.ca/bibliography/], dont plusieurs remontent aux toutes premières explorations dans la région.

Island Archives.ca at the University of Prince Edward Island (en anglais seulement) [http://islandarchives.ca/]
Le site Island Archives de l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard donne accès à une collection toujours croissante de documents et d’images conservés dans des bibliothèques et des musées de cette province. Les journaux [http://islandarchives.ca/inewspapers] et les cartes en format numérisé[http://islandarchives.ca/imaps] sont particulièrement intéressants.

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Nouveau fil RSS de BAC – Instruments de recherche, bases de données et la numérisation

Ce fil RSS met l’accent sur les mises à jour et les ajouts aux instruments de recherche, aux diverses bases de données et met en valeur les ressources nouvellement numérisées de BAC.

Abonnez-vous au nouveau fil RSS ou allez à la page RSS de BAC pour accéder aux autres fils RSS de BAC.
 
Renseignez-vous au sujet des nouveautés à BAC, visitez notre section «Nouvelles».

Écoutez l’histoire de la musique du Canada à l’aide du gramophone virtuel

Des chants patriotiques et des ballades sentimentales de l’époque de la Première Guerre mondiale, ainsi que des chanteurs et instrumentistes classiques des années 1920 à 1940, voilà ce que vous trouverez sur le site du Gramophone virtuel de Bibliothèque et Archives Canada. C’est un endroit idéal pour écouter des enregistrements de notre collection!

Le site du Gramophone virtuel vous permet de connaître l’histoire de l’industrie de l’enregistrement sonore au Canada, de lire des biographies d’artistes canadiens, de visionner une vidéo montrant un gramophone en état de fonctionnement, d’explorer la base de données et d’écouter des pièces enregistrées.

Le site présente notamment les enregistrements suivants :

  • Des chants patriotiques et des ballades sentimentales de l’époque de la Première Guerre mondiale;
  • Des enregistrements provenant des populaires scènes du jazz et du vaudeville, et de la période d’engouement pour la musique de danse dans les années 1920;
  • De la musique québécoise des années 1920 et 1930, y compris les enregistrements de madame Édouard (Mary Travers) Bolduc;
  • De la musique populaire de l’époque, notamment des enregistrements du Néo-Brunswickois Henry Burr, l’artiste ayant fait le plus d’enregistrements à son époque;
  • Des chanteurs et instrumentistes classiques des années 1920, 1930 et 1940, dont Emma Albani, Pauline Donalda, Sarah Fischer et Hubert Eisdell;
  • De la musique militaire, des chansons populaires et d’autres pièces en anglais et en français, enregistrées ou mises sur le marché par la Berliner Gramophone Company de Montréal entre 1901 et 1910 environ.

Bien que le Gramophone virtuel ne soit plus mis à jour, il demeure un site de choix pour accéder à certains des 78 tours et enregistrements sur cylindre de la collection de musique de BAC.

Si vous êtes passionné de musique canadienne, voici d’autres site d’intérêt :

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Comment trouver des publications numériques

Vous pouvez maintenant consulter des publications en ligne comme jamais auparavant. Il suffit de savoir comment. Nos spécialistes de la référence à Bibliothèque et Archives Canada (BAC) vous proposent quelques trucs pour vous aider à repérer des publications accessibles en de simples clics de souris !

Recherche de documents de bibliothèques

Commencez par notre outil Recherche de documents de bibliothèques. En suivant les étapes ci-dessous, vous trouverez facilement des publications canadiennes numérisées par BAC et par d’autres bibliothèques dans l’ensemble du pays.

  1. Allez à l’écran Recherche avancée de documents de bibliothèques.
  2. Sélectionnez l’option de recherche Titre (mot-clé) et entrez des mots-clés provenant du titre de l’ouvrage qui vous intéresse.
  3. Recherchez dans Bibliothèques canadiennes.
  4. Dans le menu déroulant Format, sélectionnez En ligne.
  5. Cliquez sur le bouton Soumettre. Vos résultats de recherche apparaîtront dans une nouvelle page.
  6. Sélectionnez n’importe quel résultat pertinent obtenu pour accéder à la notice complète, incluant la description du livre.
  7. Cliquez sur le lien dans la description pour accéder à la version numérisée du livre.

Notre mémoire en ligne

Nos spécialistes de la référence recommandent de consulter la bibliothèque numérique Notre mémoire en ligne (NML), [http://eco.canadiana.ca/?usrlang=fr] une source incontournable sur les publications du 19e siècle. NML offre une vaste collection d’ouvrages en ligne; vous pouvez non seulement rechercher des titres en particulier, mais aussi faire de la recherche plein texte. Certains des ouvrages numérisés dans NML sont accessibles uniquement aux institutions abonnées; veuillez vous informer auprès de votre bibliothèque locale.

Voici quelques conseils pour explorer la collection NML :

  1. Utilisez l’écran Recherche avancée pour préciser votre recherche.
  2. Pour trouver un titre en particulier, sélectionnez l’option titre dans le menu déroulant Rechercher dans.
  3. À partir du menu déroulant Trouver les documents correspondants, sélectionnez l’option tous les termes voisins lorsque vous faites de la recherche plein texte dans la bibliothèque virtuelle. Ceci garantit que vos termes d’interrogation apparaissent groupés et non sur différentes pages du document.

Notre prochain  billet sur les publications numériques présentera les sources d’information suivantes :

Surveillez nos billets pour découvrir des projets de numérisation régionaux qui vous permettront de consulter en ligne des documents provinciaux et municipaux.

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Comment consulter des documents qui n’ont pas encore été mis en ligne

Pour les documents d’archives, utilisez Recherche dans la collection

Quand vous cherchez des documents d’archives (p. ex, des journaux, des photographies, etc.), utilisez Recherche dans la collection. Vous pourrez effectuer une recherche dans les fiches de la base de données, connues sous le nom de « descriptions archivistiques ». Parfois, le contenu des fiches n’aura pas encore été numérisé. Si tel est le cas, utilisez une des méthodes suivantes pour consulter les documents :

Pour les documents publiés, utilisez Recherche de documents de bibliothèques/AURORA

Quand vous cherchez des documents publiés (à savoir, des livres, des journaux, etc.), vous pouvez utiliser notre Recherche de documents de bibliothèques ou, pour davantage de caractéristiques de recherche, utilisez notre catalogue AURORA. Les résultats de recherche consistent souvent en des fiches de la base de données (connues sous le nom de « fiches bibliographiques ») et non en des documents en texte intégral en ligne

Il existe trois façons de consulter les documents :

Vous avez des questions ou des commentaires? N’hésitez pas à communiquer avec nous!

Résumé des commentaires reçus en anglais jusqu’au 30 septembre 2013

  • Un généalogiste vivant à l’extérieur d’Ottawa utilise souvent le prêt entre bibliothèques pour commander des livres et des microfilms. Il s’inquiète du fait qu’avec la fermeture du service prévue pour le 15 février 2013 que cela ne sera plus possible. Il demande quelles sont les solutions envisagées. Ce commentaire a été acheminé aux personnes responsables. BAC l’a informé que d’autres détails seraient annoncés plus tard dans l’année et que BAC travaillait avec d’autres institutions au Canada afin de partager les ressources.