Images de tennis maintenant sur Flickr 

L’origine du tennis remonte au 11e siècle en France, où le sport était joué sur des courts intérieurs. Au début, les joueurs frappaient la balle avec leurs mains. La raquette fut introduite au 15e siècle et popularisée en Angleterre au milieu du 19e siècle. Le court rectangulaire et le service à partir d’une ligne de fond devinrent ensuite la règle.

Le tennis fut rapidement adopté au Canada durant les années 1870. En seulement six ans, on assista à la fondation d’un premier club à Toronto (1875), à la tenue du premier tournoi canadien au Montréal Cricket Club (1878) et à l’organisation d’un premier tournoi de tennis intérieur à Ottawa (1881). À partir des années 1880, de nombreux clubs furent mis sur pied dans les grandes villes du pays, suivis par l’aménagement, un peu partout, de terrains à l’arrière des maisons privées.

L’Association canadienne de tennis sur gazon, fondée en 1890, contribua au développement de cette activité sportive et à la participation des Canadiens à des événements internationaux, tels que la Coupe Davis. Les amateurs s’organisent maintenant sous l’égide de Tennis Canada, qui soutient ce sport et en fait la promotion, de la simple fonction récréative jusqu’aux compétitions internationales. Cet appui est l’une des nombreuses raisons qui expliquent la grande popularité du tennis au Canada.

Images de cuisine maintenant sur Flickr

Saviez-vous que Bibliothèque et Archives Canada (BAC) a une riche collection de livres de cuisine? Notre culture et la technologie ont influé sur ces livres et les recettes au fil du temps, et cela a modifié nos rapports avec la nourriture et la cuisine au cours de notre histoire.

Des images de chemins de rondins maintenant sur Flickr

Au Canada, les voyageurs ont d’abord dû emprunter les lacs et les rivières pour franchir de longues distances. Les excursions par voie terrestre étaient pénibles en raison des difficultés du terrain et des forêts très denses qu’il fallait traverser. Les premiers réseaux routiers desservaient uniquement les environs immédiats des villages, des villes et des établissements urbains importants. Bon nombre d’entre eux furent bâtis à des fins militaires.

Malgré les défis posés par la nature du terrain, les citoyens devaient acquitter certains frais ou taxes qui étaient ensuite affectés à la construction et à l’entretien des routes. Celles-ci se sont ajoutées aux voies navigables pour le transport des personnes et des marchandises. Les premières routes étaient des chemins de rondins ou de débardage. Les grands sentiers reliant les établissements étaient recouverts de rondins posés côte à côte, perpendiculairement au sentier. Ces routes rudimentaires ont permis aux voyageurs de se déplacer à l’intérieur des terres dans des conditions climatiques difficiles ou des terrains accidentés, et elles ont ouvert de nouvelles régions à la colonisation partout au pays.

Des images de lutte contre les incendies maintenant sur Flickr

Les pompiers ont la lourde tâche de combattre et d’éteindre les incendies qui menacent des vies, des propriétés et l’environnement. Leurs horaires de travail sont astreignants et leur travail, dangereux, mais le service qu’ils rendent est essentiel. Paradoxalement, si le feu représente parfois un danger pour la vie humaine, il est aussi indispensable au progrès.

Au Canada, la lutte contre les incendies a d’abord été le fruit d’efforts collectifs. Citoyens et soldats combattaient ensemble les flammes, avec pour seules armes de l’eau et des haches. Les nouveaux établissements, construits en bois dans des espaces restreints, étaient particulièrement vulnérables à la propagation d’incendies, souvent déclenchés par les feux entretenus pour chauffer les maisons et cuire les aliments. Au fil du temps, la lutte contre les incendies s’organisa; le premier service d’incendie fut créé à Halifax en 1754 et on utilisa la première pompe à incendie à Montréal en 1765.

Après l’incendie qui ravagea le parlement du Haut-Canada en 1824, les villes améliorèrent leurs capacités d’intervention en mettant sur pied des compagnies de pompiers volontaires. La lutte contre les incendies devint une profession, dès lors que de nouvelles machines, de nouveaux équipements et l’utilisation de chevaux exigèrent un personnel à temps plein. À la fin du 19e siècle, un virage s’opéra avec l’adoption de mesures de protection contre les incendies relativement sophistiquées : codes du bâtiment plus rigoureux, services d’incendie professionnels, réseaux de bornes d’incendie, pompes à vapeur et équipements à traction chevaline. Depuis, la lutte contre les incendies continue de se perfectionner au vu des nouveaux défis qui se présentent.

Des images sur l’immigration maintenant sur Flickr

Le Canada se distingue de la plupart des autres pays par la diversité de sa population. Notre mosaïque culturelle, ethnique et linguistique se reflète dans le patrimoine varié de Bibliothèque et Archives Canada associé aux divers groupes ethnoculturels. March 26, 2015

Journaux de guerre de la Première Guerre mondiale et recherche d’image

Les journaux de guerre, documents conservés à Bibliothèque et Archives (BAC), sont des comptes rendus quotidiens des « actions sur le terrain » des unités du Corps expéditionnaire canadien de la Première Guerre mondiale. Ils constituent le récit de première main le plus complet décrivant où et comment les unités ont été déployées et l’expérience vécue par leurs membres.

Page du journal de guerre du 22e Bataillon d’infanterie canadien.

Page du journal de guerre du 22e Bataillon d’infanterie canadien (MIKAN 2004664)

Recherche de journaux de guerre

Pour trouver des journaux de guerre, utilisez la fonction « Recherche d’image », un moyen rapide, efficace et convivial pour trouver et consulter ces dossiers numérisés. Vous trouverez des conseils pour effectuer une recherche sur un journal précis dans la section « Comment effectuer une recherche pour des journaux de guerre »; l’utilisation de mots-clés va aussi aider à limiter la recherche. Par exemple, voici les résultats de recherche pour les journaux du fameux « Van Doos », aussi appelé le 22e Bataillon d’infanterie canadien. Nous avons utilisé les termes de recherche journal guerre 22e bataillon et choisi « Documents textuels » dans le menu déroulant « Genre de documents ».

Trouver des documents connexes

Après avoir consulté les journaux d’une unité, reprenez la recherche que vous venez de faire, mais cette fois-ci sans les mots journaux de guerre, et dans le menu déroulant du « Genre de documents », sélectionnez la valeur par défaut « Tous les genres ». Voici les résultats de recherche pour le 22e Bataillon. Vos résultats comprennent les journaux de guerre, mais aussi des photographies, des œuvres d’art et d’autres documents liés aux termes de recherche, pour autant que ceux-ci soient inclus dans le titre des documents.

Amusez-vous à chercher et à explorer les documents numérisés que nous avons à vous offrir!

Images de l’expédition Franklin maintenant sur Flickr

Résumé des commentaires reçus en anglais jusqu’au 30 septembre 2013

  • Un usager apprécie le fait que cet événement historique soit souligné par le biais d’un ensemble d’images sur Flickr. Il aurait aimé voir par contre des légendes plus détaillées.

Entrez dans la danse! – Les archives de la danse à BAC

Saviez-vous que Bibliothèque et Archives Canada (BAC) possède des fonds et des collections en lien avec la danse au Canada? On y retrouve des documents
fascinants sur supports multiples portant sur de nombreux aspects de cette composante majeure des arts de la scène.

BAC a notamment en sa possession des fonds illustrant la carrière de la fondatrice du Ballet national du Canada, Celia Franca et de quelques-unes de ses danseuses étoiles dont Veronica Tennant et Karen Kain.

D’autres fonds portent sur les réalisations de compagnies ou d’artistes dans le domaine de la danse contemporaine, dont le fonds le Groupe de la Place Royale, fondé de concert en 1966 par les chorégraphes et danseurs Jeanne Renaud et Peter Boneham. Il y a aussi le fonds Toronto Dance Theatre et celui de la Fondation de danse Margie Gillis, qui figurent parmi les institutions phares de la danse contemporaine au Canada.

La collection comporte également des archives d’écoles de danse et de pionniers de la danse au Canada, comme l’École de danse Lacasse-Morenoff, l’École Gina Vaubois, la Ottawa Ballet Company fondée par Nesta Toumine en 1947, et Alex Pereima, danseur de ballet et administrateur des arts.

En parallèle, il existe un certain nombre de fonds ayant trait aux institutions qui soutiennent les compagnies et les artisans de la danse au Canada, dont le Conseil des Arts du Canada, la Société du Centre national des arts, la Conférence canadienne des arts et l’Association Dance in Canada.

On peut trouver un grand nombre d’affiches et de photographies en lien avec la danse au moyen de notre outil de Recherche d’images de fonds d’archives en utilisant les mots‑clés « danse » ou « ballet ». Nous vous invitons également à consulter notre album Flickr.

N’oubliez pas que nos documents ne sont pas tous accessibles en ligne. Vous pouvez toutefois commander des documents d’archives au moyen de notre formulaire de Demande de retrait de documents en ligne. Consultez également notre article Comment consulter des documents qui n’ont pas encore été mis en ligne pour obtenir de plus amples renseignements.

Vous avez des questions ou des commentaires? N’hésitez pas à communiquer avec nous!

Images de pirates et de corsaires maintenant sur Flickr

Résumé des commentaires reçus en anglais jusqu’au 30 septembre 2013

  • Un usager a trouvé le contenu de cet ensemble Flickr amusant. Il aurait aimé voir des explications plus détaillées sur comment les images ont été sélectionnées.